Pommes de terre-céleri-rave.
Pommes de terre-céleri-rave
Bonjour à tous et
bienvenue dans ma cuisine
Je viens de vivre une grande période « gratins ».
Cette fois c’est le céleri-rave qui est passé à la casserole
avec quelques pommes de terre.
Une orange qui passait par là a aussi participé à la fête.
Les photos laissent à désirer, mais le plat était délicieux!
Sur ma paillasse :
– 850 g de céleri-rave
– 850 g de pommes de terre
– 400 ml de lait
– 300 ml de crème
– le zeste d’une orange non traitée
– 90 g de comté râpé
– sel & poivre du moulin
– noix de muscade
– huile d’olive
1 plat à gratin carré de 24 cm de côté huilé
Préchauffage du four à 200°C (chaleur tournante)
Au travail :
Verser le lait et la crème dans une casserole avec le zeste d’orange.
Porter à frémissement et laisser infuser jusqu’à ce que le mélange tiédisse.
Retirer le zeste d’orange. Saler, poivrer et ajouter une bonne pincée de muscade râpée.
Éplucher et laver le céleri-rave et les pommes de terre.
Les couper en tranches fines.
Tapisser le fond du plat d’une rangée de rondelles de pommes de terre.
Couvrir d’une couche de lamelles de céleri.
Parsemer de fromage râpé.
Recommencer l’opération et terminer par une couche de pommes de terre.
Verser doucement le lait à la crème.
Parsemer du reste de fromage râpé et asperger de quelques gouttes d’huile d’olive.
Si le gratin dore trop vite, le couvrir d’une feuille de papier cuisson. (Attention, la mienne s’est envolée avec le souffle du four, et mon gratin a pris un peu trop de couleurs!!!!).
Servir bien chaud.
À propos de la recette :
– J’ai pris les photos lorsque j’ai fait la recette (pour 6) et au moment de la rédiger, je me suis aperçue que j’avais complètement oublié de noter les proportions et le temps de cuisson. J’ai donc recommencé, mais personne ne s’en est plaint!
– Ce gratin se réchauffe très bien, vous pouvez donc le préparer un peu à l’avance.
La température et les temps de cuisson que je vous donne sont valables pour mon four, à vous de les adapter au vôtre.
Paroles de Gourmands : Ce gratin, cousin lointain du gratin dauphinois a été bien apprécié par le petit goût inhabituel apporté par le céleri et le parfum discret laissé par l’orange.
Voici celles de
Anne-Marie Do –
Merci d’être entrés dans ma cuisine.
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Bonne journée à tous.
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